TD 2 Novembre Politique Sociale et Médiation Culturelle

II) Politique sociale et médiation culturelle

Les pouvoirs publics s’investissent d’avantages avec l’aide d’autres organisations.
Au moment du front populaire un certain nombre de personnes ont réfléchi principes d’éducation populaire. De nombreuses organisations se sont mises en place pour répondre à ca besoin et mettre en place des actions populaire.

A- En 1937 se créer le CEMEA (centre d’entrainement aux méthodes d’éducation active). Ce sont des fédérations dont le but est de créer des liens socioculturels.
Ces organismes réunissent 35 associations sur l’ensemble du territoire français dont les DOM-TOM et font aussi office de centre de formations (BAFA). Les CEMEA réunissent de s travailleurs venant de machins sociaux, réunissent des animateurs, des éducateurs spécialisés …
Les actions sont assurées par des personnels à la fois du milieu social et culturel. Ce rassemblement de compétences différentes permet de participer aux activités culturelles pour tous les publics.
Elles sont partenaires officielles d’un grand nombre d’événements annuelisés.
Leur but est de sensibiliser, de fidéliser les publics à la culture. Elles sont très importantes au niveau des partenariats avec le pouvoir publics qu’elles doivent sensibiliser pour avoir des financements pour monter leurs projets. Les CEMA sont des observatoires permanant des publics et permettent de juger les évolutions des fréquentations culturelles des populations.
Par ailleurs elles mettent un dispositif d’accompagnement matériel pour les personnes isolées (sur tous les points de vue). Elles sont aussi en lien avec l’éducation nationale qui leur permette la diffusion de la culture aussi variée soit-elle.
Elle permettent une ouverture de la culture, de valoriser l’action culturelle et participer à la démocratisation de la culture

B – La FNFR (Fédération nationale des foyers ruraux)
Créé au lendemain de la WWII (1946) elles ont aussi un but d’éducation populaire qui agissent uniquement en milieu rural. Elles sont créées pour lutter contre l’exode rural au lendemain de la WWII.
Ce sont des fédérations départementales qui vont fédérer des militants socioculturels comme pour les CEMEA avec le même type de personnel, de bénévoles pour participer à des actions culturelles dans le milieu rural. Elles sont moins présentes que le CEMEA et se limitent à la métropole. A l’inverse des CEMEA elles font en sorte que les activités culturelles se passent localement mais elles gardent le même but d’apport de la culture.
Le public est géographiquement éloigné de la culture. Les FNFR édite un petit journal qui donne une information sur les différents événements culturels distribués gratuitement. Comme le CEMEA elles ont pour but de participer à la démocratisation de la culture et sont très actifs dans les milieux ruraux.
Il y a des échanges très importants entre les FNFR et une association de leurs forces et leurs compétences pour mener des activités culturelles communes et réunir des forces humaine et financière lors d’actions inter régionales (échange culturelle entre les régions). Elles sont ainsi d’autant plus légitimes au près des pouvoirs publics avec qui elles sont partenaires.
C- Autres
Culture du cœur, FOL (fédération des œuvres laïques), ligue des enseignants …