Cours du 06/10/2010 Thomas Cepitelli
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Cours du 06/10/2010 Thomas Cepitelli
Cours du 06/10/2010 théâtre avec Thomas Cepitelli
One man show = un homme seul sur scène par définition, mais ce n’est pas le cas pour toutes les pièces où l’acteur est seul sur scène.
Le théâtre documentaire = relate les faits réels, historiques. Par exemple : On va aller chercher et trouver des témoins qui parlent de ce fait et on travaille à partir de leur récit.
Exemple : Rwanda 1994, un spectacle bouleversant. Une femme joue l’héroïne principale, mais le public reste toujours dans le doute : est-ce qu’elle raconte sa vie ou est-ce qu’elle joue ? Elle paraît être un véritable témoin du Rwanda.
Le cadre esthétique se compose de : vidéos, photos, dessins, sources officielles ; elles servent de reconstructions, sont des métaphores. Les documents sont spécialement choisis pour illustrer les propos de la pièce (logique).
Un exemple analysé en cour:
Ce que j’ai vu et appris au goulag
Pièce blanche, vue bi – frontale parce que une partie du public et en face de l’autre, mais tous le monde regarde ce qui se passe sur le côté (droit ou gauche, c’est selon). Ce public fait partie intégrante dans l’espace de jeux.
Scène d’introduction : Une jeune femme en tenue noire parle comme une hôtesse de l’air.
L’écran qu’elle présente est un tableau noir d’école, puis il se modernise.
L’acteur qui se tient à jardin s’anime. Il sur articule « exercice de mémoire ».
En image sous forme d’un film : une reconstitution des évènements. Fidélité de la période dans le costume, illustre les propos qu’il tient (exemple : il jette des tracts et il le dit).
L’assistante (l’hôtesse) est en interaction avec lui.
Le personnage principal a réellement existé : J. Rossi
Dernière séquence : la même image qui est passée en boucle pendant plusieurs « flashes ».
Un mix d’images dans une vidéo = vigging.
Le public est muni d’un casque qui évoque la proximité. Mais est-ce que ce groupe de personne reçoit le spectacle de la même manière, peut-on parler « d’uniformisation » ?
Certes, ils sont vêtu d’une blouse blanche, mais chacun est seul avec son casque. Ce qui pose problème : les sons parasites qui inondent la parole, fait référence aux anciens discours avec la mauvaise qualité des micros.
Musique : « mission impossible » fait référence au capitalisme.
Gestuelle militaire : le poins levé (célèbre) est déshumanisé. Staline lutte contre le libre-arbitre.
http://www.regard-est.com/home/breve_contenu.php?id=552
N'hésitez pas à compléter mes notes de ce cour et à en rajouter d'autres
One man show = un homme seul sur scène par définition, mais ce n’est pas le cas pour toutes les pièces où l’acteur est seul sur scène.
Le théâtre documentaire = relate les faits réels, historiques. Par exemple : On va aller chercher et trouver des témoins qui parlent de ce fait et on travaille à partir de leur récit.
Exemple : Rwanda 1994, un spectacle bouleversant. Une femme joue l’héroïne principale, mais le public reste toujours dans le doute : est-ce qu’elle raconte sa vie ou est-ce qu’elle joue ? Elle paraît être un véritable témoin du Rwanda.
Le cadre esthétique se compose de : vidéos, photos, dessins, sources officielles ; elles servent de reconstructions, sont des métaphores. Les documents sont spécialement choisis pour illustrer les propos de la pièce (logique).
Un exemple analysé en cour:
Ce que j’ai vu et appris au goulag
Pièce blanche, vue bi – frontale parce que une partie du public et en face de l’autre, mais tous le monde regarde ce qui se passe sur le côté (droit ou gauche, c’est selon). Ce public fait partie intégrante dans l’espace de jeux.
Scène d’introduction : Une jeune femme en tenue noire parle comme une hôtesse de l’air.
L’écran qu’elle présente est un tableau noir d’école, puis il se modernise.
L’acteur qui se tient à jardin s’anime. Il sur articule « exercice de mémoire ».
En image sous forme d’un film : une reconstitution des évènements. Fidélité de la période dans le costume, illustre les propos qu’il tient (exemple : il jette des tracts et il le dit).
L’assistante (l’hôtesse) est en interaction avec lui.
Le personnage principal a réellement existé : J. Rossi
Dernière séquence : la même image qui est passée en boucle pendant plusieurs « flashes ».
Un mix d’images dans une vidéo = vigging.
Le public est muni d’un casque qui évoque la proximité. Mais est-ce que ce groupe de personne reçoit le spectacle de la même manière, peut-on parler « d’uniformisation » ?
Certes, ils sont vêtu d’une blouse blanche, mais chacun est seul avec son casque. Ce qui pose problème : les sons parasites qui inondent la parole, fait référence aux anciens discours avec la mauvaise qualité des micros.
Musique : « mission impossible » fait référence au capitalisme.
Gestuelle militaire : le poins levé (célèbre) est déshumanisé. Staline lutte contre le libre-arbitre.
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N'hésitez pas à compléter mes notes de ce cour et à en rajouter d'autres
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